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lundi 8 septembre 2008

Fin du parcours a Chiang Rai et impressions generales

[C] Conseil : Ne jamais prendre le dernier bus de la journée ! Chaud (ouf, des ventilateurs…), hyper inconfortable, et surtout, sans amortisseurs : Véro a été malade tout le trajet… Arrives a Chiang Rai le soir, direction notre auberge (cette fois très sympa, merci Mr Routard !) puis le night market, succession de petits stands de bouffe et boissons (ou j’ai pu déguster un poisson colossal pour un peu plus de 2 €), une scène sur laquelle se produisent des groupes locaux, et évidemment les sempiternelles contrefaçons un peu partout. Très sympa !

Pas grand-chose a faire a Chiang Rai même donc, le lendemain, on décidé de monter en petit bus jusque Chiang Saen, village qui longe le Mékong, le fleuve qui fait office de frontière entre le Laos, le Myanmar et la Thaïlande. Cette région est des lors appelée le Triangle d’Or (Triangle pour les trois pays et Or, pour l'opium qui y est/etait cultive). Sur place, location d’une mopette pour une demi journée et visite des lieux clef de la région et petite balade dans l’arrière pays. Le village thaï au niveau de la convergence des frontières des 3 pays est très touristique et tout le monde s’y arrête pour une photo. En face par contre (au Myanmar ou au Laos), aucune infrastructure touristique ne semblait mise en place… Sacrée Thaïlande, tout est bon pour exploiter les dollars du touriste !


Le soir même, départ de Chiang Rai pour retourner a Bangkok, ou on arrivera en pleine nuit et on tentera de dormir dans l’aéroport avant de faire nos courses de départ le lendemain. Départ pour Sydney a 17h!!

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Petit bilan? On a vraiment adore ce pays, même si on est bien conscients que c’est tellement facile d’y arriver en touriste, prêt a dépenser en 1 semaine ce que les thaï gagnent en un mois (et encore). La plus grosse déception est sans doute la barrière de la langue. Même si l’anglais est souvent utilise, ça reste très factuel, et ça ne permet pas de comprendre les écritures, pubs, journaux, emballages, menus,… On reste donc enfermes dans notre rôle de touriste et il est très difficile de pouvoir apprécier la culture locale sans en comprendre la langue. La Thaïlande est effectivement le « Land of the Smile », et un sourire amical au tuktuk insistant vaut souvent mieux qu’un déni pur et simple.


Et comme on dit : on a eu de la chance avec le temps !

Conseils (pratiques) personnels :


Achats : Super important pour les filles : ne vraiment pas prendre trop d’affaires, tout est achetable en Thaïlande a très bon marche (Véro regrette encore…). A Bangkok, aller au Centre MBK, énorme. Pour les mecs, l’électronique vaut aussi vraiment la peine. A Bangkok de nouveau, aller au Pantip Plaza. Bon, il y a toujours évidemment le problème des contrefaçons et des douanes…

Transport : Apres coup, on s’est rendu compte que réserver des transports avant d’être sur place est inutile, contraignant, plus cher… Dans n’importe quelle ville, n’importe quelle petite échoppe ou presque peut vous vendre un ticket de transport. En comparant les prix, on trouve vite des offres intéressantes. En plus, les bus desservent les grandes villes très facilement, sont réguliers et ponctuels, et beaucoup plus conviviaux que les autres transports (sauf les derniers de la journée…) ! Nous, on a un peu regrette d’avoir pris deux trajets en avion…
Par ailleurs, on l’a déjà dit, mais louer une mobylette ponctuellement pour explorer les régions par trop peuplées (pas faire ça a Bangkok quoi…), c’est le pied. Ça se conduit a gauche super facilement, les thaïlandais sont prudents au volant et roule très lentement (on n’a pas vu un seul accident). Si on rajoute a ça le fait que ça revient souvent moins cher que les autres transports et qu’on y gagne beaucoup en liberté et en temps, on n’arrive pas a comprendre pourquoi on a vu si peu de touristes le faire (et pourquoi les thaïs nous regardaient en rigolant… peut être a cause du casque et des lunettes, qui sait, ils ont peut être aussi vu Chips a la télé…?)


Logement : De nouveau, pas trop besoin de réserver a l’avance, si ce n’est pour des gros événements tels que la full moon party. Il est toujours possible de trouver sur place, à tous les prix, et de demander à voir les chambres avant de souscrire. En plus quand on réserve à l’avance, on peut parfois avoir des mauvaises surprises sur place. Par exemple, l’hôtel qu’on avait repéré sur le net sur Koh pan Ngan était en fait à l’ombre tôt le soir et avait de bruyants travaux en cours derrière… Pas top pour une île paradisiaque !


Bouffe : On n'a pas eu le moindre problème de tourista et pourtant, nous n’avons pas fait des masses attention, il faut avouer. On a juste évité de boire l’eau du robinet et d’acheter dans la rue des fruits places dans des glaçons. Sinon, vu le nombre de shakes (fruits et glaçons pilles) consommes, ils ont l’air inoffensifs… Pour les plats, si on vous dit que c’est légèrement piquant, un conseil : déclinez poliment. Par facilite, optez pour les Pad Thaï, plat traditionnel compose de nouilles sautées et agrémentées parfois de tofu, de poulet, de noix,… que l’on peut vous faire partout. Véro est devenue une experte !


Toilettes : Toilettes occidentales dans la majorité des logements, mais toilettes a pédales dans les lieux publics. Les toilettes modernes sont toujours accompagnées de la petite douche remplaçant avantageusement le papier (question d’habitude…) tandis que les toilettes a pédales sont accompagnées d’un bac d’eau, moins commode, nous ne rentreront pas dans les détails… Bref, rouleau de PQ indispensable dans le sac a dos a tout instant (a ne pas jeter dans les toilettes toutefois...) !

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Eco-trekking: it’s the jungle baby!

[C] Apres avoir rencontre nos co-trekkeurs la veille, 2 américains (Leah et Jake) et un japonais (Ta Kao), ainsi que nos guides (Mr Sak et Mr Wit), réveil a l’aurore pour le départ et la mise en sac. Il fait déjà mourrant de chaud, mon dernier t-shirt propre est ruine, c’est mal parti… Départ à 8h vers un marche local pour faire nos courses pour le trek. Petit dej a coups de mangue, riz gluant et lait de coco puis looongue route sinueuse vers les montagnes de la région de Mae Hong Son. Apres un second arrêt pour déjeuner dans un petit resto local (les thaïs mangent tout le temps, c’est dingue) et s’être fait trimballe dans un pick-up comme du bétail, on arrive enfin a destination : le haut de la montagne. Facile, il n’y a plus qu’à descendre !
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Le cadre était vraiment magnifique : La descente jusqu'à une rivière, le parcours de la rivière a pieds nus et la remontée de la colline vers le village Karen a travers des paysages de rizières sèches et humides, tout était merveilleux. Sur la route Mr Sak, sorte de guide-sage indolent, s’arrête de temps a autre pour nous parler des plantes, des animaux ou de la vie en montagne (desquelles il vient : il est Karen lui aussi). Arrives au village en fin d’après midi, on est évidemment un peu l’attraction du coin (on se fait même prendre en photos !). On essaye donc de se couler le plus possible dans le bain : baragouiner local (les Karen ne parlent pas le thaï), se laisser masser par un gars passablement emeche, fumer la cigarette locale faite de tabac et de morceaux de noix enroule dans une feuille de tabac (quitte a y laisser un poumon), goûter a de l’alcool de riz trop jeune, jouer avec les enfants,... Enfin, on dévore un excellent repas prépare par nos guides sur le feu central de la maison (maison complètement en bambous, sur pilotis) du couple chez qui l’on va « tenter » de dormir…


Apres quelques petites parties d’UNO (le jeu de cartes), direction le lit. J’ai dit « tenter » car on pouvait choisir entre dormir dans la maison ou sur la terrasse. La maison, c’est bien mais les habitants utilisent la fumée de leur feu central pour éloigner les moustiques et bébêtes… On choisit donc la terrasse : groooosse erreur stratégique ! Sous notre moustiquaire, la carpette du dîner en guise de matelas (avec encore quelques morceaux de riz colles), un sac de couchage de propreté douteuse et un oreiller encore moins net. La nuit s’annonce confort mais on en a vu d’autres ([V] : ou pas).

Par contre, on avait complètement oublie de prendre des boules-quies… et les Karen possèdent de nombreux animaux de fermes qui vont et viennent à leur gré. Par exemple des cochons qui se lavent sous les terrasses des maisons dans les boues créées par l’eau de vaisselle, des poules qu’ils rentrent par sécurité la nuit dans des paniers sur la terrasse, des coqs insomniaques qui chantent a partir de 3h du matin, et plein d’autre bruits non identifies… Bref, on s’est endormis chacun avec le doigt de l’autre dans son oreille et l’autre oreille collée a l’oreiller. Peu de sommeil, mais gros fou rire :-).

Contrairement a ce que la plupart des tours essayent de faire croire aux touristes, les tribus Thaïs ne sont bien donc pas des espèces sous développées qui vivent en habits traditionnels toute a journée… Il s’agit simplement de montagnards, qui vivent dans des maisons de bambous et possèdent parfois la TV, se lavent les dents (les femmes ont les dents noirs, mais c’est parce qu’elles chiquent des noix amères toute la journée pour rendre leur dents plus fortes. Les dents blanches ne sont pas un signe de beauté ici - Véro n’avait donc rien a craindre…), etc. Bref, loin de l’image touristique qui leur est donnée !

Au matin, après une dizaine de thés pour se réveiller et un petit dej local fait de riz, de poisson bouilli et d’autres choses inconnues (heureusement, il y avait des ananas et des bananes a cote…), on fait nos adieux a nos hotes et on repart dans la foret pour redescendre vers la rivière, accompagnes de 5 hommes du village. De nouveau, les paysages sont mirobolants ! On s’arrête a midi pour manger nos nouilles (préparées le matin même par Mr Wit et stockées dans des feuilles de bananier) a l’aide de baguettes en bambou : pas besoin de faire la vaisselle, on jette tout après avoir mange. Enfin, après quelques heures de marche en rivière, on arrive au « campement de survie »… qu’on devrait plutôt appeler « l’hôtel 5* de la jungle » ! Il s’agit d’une grande maison en bambou près de petites cascades dans lesquelles on a pu se laver pendant que nos guides et les hommes du village préparaient un dîner pantagruélique (private joke, il fallait que je replace le mot), pêchaient et découpaient le matériel de cuisine (on les a quand même un peu aide, hein) ! « Découpaient » car oui, tout est en bambou ici : verres, cuillères, assiettes (communes), baguettes, bouilloire a thé et même les « casseroles » pour cuir le riz. Incroyable ! Apres ce bon repas, une petite discussion et quelques jeux à boire de fin de soirée (sans boire…), une meilleure nuit de sommeil que la veille a fait beaucoup de bien !



Au réveil, tout le monde était déjà en activité pour nous préparer un vrai « continental breakfast » digne des plus grands hôtels : thé, œufs brouilles cuits dans des poches de bambous, toasts grilles sur le feu, ananas frais,… Eux n’ont par contre mange que du riz et du poisson épice (une anguille et un crabe pêchés la veille). Dommage que l’on n’en ait pas eu parce que c’était bien meilleur que le petit dej de la veille ! Finalement, on a quitte notre repère pour remonter a la marche les petites cascades jusqu'à la « grotte aux chauves souris » dans laquelle nous avons progresse quelques dizaines de mètres a la seule lueur de torches de bambous séchées la veille sur le feu. Sympa, mais court ! Et puis, dernières heures de marche dans des paysages toujours aussi superbes et retour a Chiang Mai dimanche en fin d’apres midi, fatigues mais heureux d’avoir choisi ce trek !


Le dimanche soir, c’est le gros marché artisanal dans les rues centrales de Chiang Mai. Le meilleur marche qu’on ait pu faire en Thaïlande ! Pas du tout oriente touriste, tous les thaïs y vont, avec des petits chanteurs locaux jouant au milieu des rues, plein de choses sympas à manger,… Très chouette après nos 3 jours de marche.


Finalement, le lendemain matin, direction un centre de massage renseigne par le Routard. Un peu particulier, seuls des aveugles issus d’une des meilleures écoles de massage de Thaïlande massent ici. On se disait qu’ils devaient avoir une sensibilité différente et comme nous n’avions pas encore pris le temps de faire des massages, c’était l’occasion. Et de fait, ce massage thaï d’une heure de tout le corps fut bien agréable (pour 2 € en plus…) !


Dans quelques heures, on prend un bus encore plus local (pas le choix, c’est le dernier de la journée) vers Chiang Rai, le nord-nord. On serait bien reste un peu plus longtemps a Chiang Mai, parce qu’on a pas eu beaucoup le temps de visiter la ville, mais on avait déjà booké un retour en avion jusque Bangkok depuis Chiang Rai, donc pas le choix…

Chiang Mai : Un ville très sympa… Mais pas le temps de visiter !

[C] Apres 5h de bus, on arrive a Chiang Mai, 2e plus grande ville de Thaïlande. Notre guesthouse était réservée de la même manière que 2j auparavant, mais cette fois par contre, très très déçus par la Chat House, Mr Routard ! Chambre au sous-sol sans moustiquaire (ce fut enfin l’occasion d’utiliser la notre ! Merci Catherine&Olivier), les murs sont en papier et ils vous conseillent de surélever vos affaires en cas de pluie… Mais bon, pas de cafard et pour le prix (4 €), il fallait s’y
attendre !

La plupart des gens viennent a Chiang Mai pour une chose : les treks dans la foret dense. Et nous aussi, il faut bien l’avouer. Seulement, on n’était pas très motive a l’idée de faire un TTT (trek trop touristique) comprenant plein de choses en un minimum de temps, par exemple : visite de 10 ethnies montagnardes + du « zoo humain » des femmes girafes + ballade a dos d’éléphant + descente de rivière en rafting et en canoës de bambou + ballade en jungle +++ et le tout en 1 journée et pour pas cher madame ! La chance nous avait cependant préparé le terrain : lors de plongées a Koh Tao, nous avions rencontre un couple d’Italiens revenant de Chiang Mai qui avaient fait un trek génial : le Pooh Eco-trekking. Ils nous ont donné le fascicule et c’est vrai que ça avait l’air bien dans nos cordes : on paye plus cher, on ne fait pratiquement rien de ce que font les TTT mais comme ce sont des petits groupes le plaisir est… ailleurs ! Leur devise : « Leave nothing but footprints, take nothing but pictures, kill nothing but time » Leur livre d’or étant rempli de commentaires plus qu’élogieux, on s’est laisse tenté…

Apres l’inscription au trek, le premier apres midi fut consacré à la découverte des marchés de la ville, avant de se diriger vers le stade de la ville pour un match de boxe thaï. Les boxeurs ne devaient pas être très âgés, mais, après la petite danse traditionnelle pour introduire le combat, ça tapait quand même sec ! Intéressant de participer a ce sport national… Les grands boxeurs sont de vraies stars en Thaïlande !




Le lendemain, on déplace toutes nos affaires (Véro n’en peut plus...) vers une autre auberge, plus classique mais fonctionnelle. On avait besoin de dormir correctement avant le trek. Objectif de la journée : louer une mopette et faire un tour de la région et des merveilleuses petites routes serpentant dans les montagnes. Première étape pour Véro, une ballade a dos d’éléphant dans un site un peu recule et sans trop de touristes (contrairement a celui indique dans le routard, qui était inondé de cars !). Apres 1h de parcours chaotique et un bon mal de mer, on est quand même allés leur acheter des bananes dans le village d’a cote pour les remercier. Apres un dîner sur le bord de la route dans une autre échoppe locale pour 1 € pour 2 ([V] On pouvait se le permettre, on s’était dit qu’avec tout ce qu’on avait mangé, nous n’avions toujours pas attrapé la tourista !), deuxième étape, encore plus touristique : la ferme de serpent. On était mitigés a l’idée d’y aller et après coup, on l’a un peu regretté: on a rien appris et tout était organisé pour faire peur au bon petit public japonais venu en car. Ils jouaient vraiment à faire peur aux gens et jetaient les serpents dans tous les sens, sans respect (sans parler du commentateur du spectacle, insupportable). Bref, on est vite retournes a Chiang Mai pour aller voir la plus grande bijouterie de Thaïlande (oui, c’était une journée spéciale Véro). Interdiction de prendre des photos et dés l’entrée on vous demande votre nationalité. En fait, 15m plus loin et comme par hasard, arrive une thaïlandaise qui parle parfaitement votre langue (même flamand) et vous invite à voir les milliers de bijoux et pierres… Inlachable ! On n’est pas restes des heures non plus… Dommage, car il y avait de superbes aquariums !


Sur la route du retour, attendus 5 min après pour faire un briefing du trek et rencontrer nos 3 autres co-trekkeurs, ce qui devait arriver un jour arriva : petite crevaison de mopette. Heureusement les thaïs ont presque autant de garages que de temples, donc on a pu vite faire réparer ça quelques mètres plus loin.

Demain, eco-trekking ! Au programme : Beaucoup de marche, une soirée et nuit dans un village Karen (une des nombreuses ethnies montagnardes de Thaïlande), de la marche, une nuit de survie en jungle, et encore de la marche… Ça va suer dans les bottines !!

Des îles au centre du pays : Sukhotai et Sri Sichanalai

[C] Dernier jour sans plongée a Koh Tao, un peu de farniente sur la plage et départ a 16H00 pour 22 heures de trajet vers les plaines et la jungle, direction le nord de la Thaïlande (avec un temps mort a 5h du matin a Bangkok, ou le choc du retour a l’effervescence urbaine fut rude). Au passage, on avait prévu de passer par Ayuthaya, l’ancienne capitale de Thaïlande, mais vu notre planning raccourci par Koh Tao et le fait que trop de temples tuent les temples (sûrement pas un proverbe thaï ça…), on a décidé de continuer directement jusque Sukhotai pour y passer deux jours. Cette région, située plus au moins au centre du pays, comporte deux sites d’anciens temples inscrits au Patrimoine Mondial de l’Unesco.

Arrivés a 13h, nous nous sommes diriges directement vers notre logement, choisi dans le Routard et réservé par téléphone dans le bus. Il est une nouvelle fois remonte dans notre estime, car ici aussi, la guesthouse était excellente : maison en teck laque, 5 chambres simples mais nickelles (juste a cote de la famille), accueil très agréable, prix mini (5 €), petit dej sous les pilotis de la maison,… On recommande donc vraiment cette River House de Sukhotai ! Apres cette page de pub, direction la vieille ville (Old Sukhotai) en bus publique. Il était déjà 15H, ils fermaient a 18H00, on était déjà limites en temps et le bus marquait des arrêts de 5 min tous les 2 km pour essayer de se remplir (il n’y avait que nous dedans). Le chauffeur nous a alors proposé d’aller directement sur place, moyennant un supplément de 20 bahts (sur 50, soit, 1,30 €). Bon, ok! Corruption quand tu nous tiens :-)…

Old Sukhotai comprend un vaste ensemble de ruines éparpillées dans un cadre verdoyant. Comme ils le conseillent, elles se visitent plus facilement en vélo. Quel plaisir de voir ces temples non remis a neuf, non dores, rien que de l’histoire, du calme de la sérénité bouddhique, de... Chouette quoi ! Apres un retour en tuktuk régional ou on est assis cette fois a l’avant (attention aux insectes et aux brusques coup de frein !), un curry rouge encore une fois « légèrement » piquant (demain j’arrête, promis) et une bonne nuit de sommeil sous moustiquaire, location matinale d’une mopette pour aller visiter le second parc historique au nom imprononçable si on la mal lu : Sri Sichanalai. Par ailleurs, oui, les casques thaïs me vont à ravir, merci pour le compliment.


Le parc est a 60 km de Sukhotai, ce qui nous a permis une jolie petite ballade dans la région : maisons sur pilotis, plantations de palmier, menuiseries de teck, temples, échoppes sur le bord de la route, et évidemment les incontournables (il y en a vraiment partout partout !!) icônes du roi et de la reine, auxquels les thaïs vouent un culte quasi divin. Bref, on avait vraiment l’impression d’être enfin dans la vraie Thaïlande ! Arrives au site, les ruines de Sri Sichanalai sont encore plus verdoyante qu’a Sukhotai et plus isolées, ce qui leur donne le petit cachet sympa de temples perdus dans la foret. Encore une fois, plus qu’appréciable visite !
Au retour, je voulais absolument faire un petit arrêt sur le bord de la route pour goûter ces fruits inconnus et ces menus illisibles. J’ai juste refuse les crabes pilles, mais tout le reste était excellent (mais on sait toujours pas plus ce que c’est…), le tout pour moins de 2 € ! Le meilleur reste quand même les pomelos a manger à pleines dents… Finalement, retour sur Sukhotai pour se prendre notre première vraie drache dans les dents : arrêt force pour mettre les ponchos (merci Sandrine !) et reste du trajet a 15 a l’heure pour rentrer a la guesthouse.



On avait prévu 3 jours sur place, mais 1 jours et demi auront finalement été suffisant pour faire ce qu’on voulait. Cool, on rattrape notre planning ! Demain matin, bus local pour monter à Chiang Mai, le vrai nooord.

Koh Tao : De perfection á adoration… !


[C] Pour aller de Koh Phangan a Koh Tao, un trajet en express boat d’1h30 suffit… pour que tous les rabatteurs du bateau essayent de nous vendre leur pack brevet de plongée/logement super intéressant et bon marche ! Quand on leur a dit qu’on n’était pas la pour faire nos premiers pas en plongée (on a passé le premier niveau du brevet CMAS en Belgique avant de partir – Michel, si tu nous lis, encore merci !!), et qu’on voulait jute faire quelques plongées, ils ont eu l’air beaucoup moins intéresses… Finalement, on a décidé de suivre un rabatteur qui n’avait pas trop insiste et qui nous proposait le trajet gratuit jusqu’a la plage qui nous intéressait - a condition évidemment qu’on aille voir son hôtel.
Pour info, Koh Tao est L’île de la plongée par excellence en Thaïlande, tout le monde s’y retrouve pour passer ses brevets car non seulement c’est hyper bon marche, mais les spots de plongée sont uniques au monde.
Arrivés sur place, le bungalow n’était vraiment pas terrible, cher (14 €), et assez « mal » situé (pas la meilleur vue quoi ;-)). Déçus, on décide donc d’aller voir de notre cote en mopette. (Pour 4 € les 24h, on s’est rendus compte à Koh Phangan que louer une mobylette était tout de même la meilleure manière d’être libre sur ces îles - en tout cas sur les nouvelles routes goudronnées qui les traversent). Sur la route, on croise plusieurs routards suants, rouges et poussiéreux. La raison : pas moyen de trouver un logement (et pas eu l’idée de louer une mobylette, ces sots !)… On a vite compris qu’il fallait éviter de venir a Koh Tao 3 jours après la Full Moon Party de Koh Phangan, une des plus grosses « rave party fluorescente on the beach » d’Asie, qui se déroule tous les mois a la pleine lune. Par choix, on avait décidé d’arriver le lendemain à Koh Phangan, et on a, sans le savoir, suivi le flot de fullmoonards (qui vont plonger apres avoir dessaoule).


Bref, un peu par obligation car nous n’avions rien trouvé d’autre pour y passer la nuit, nous avons tout de même pris le bungalow proposé pour une nuit, et décidé de plonger avec eux le lendemain matin (les instructeurs avaient l’air sympa). Comme nous voulions tout de même trouver un autre logement, on a été cherché ailleurs. C’est ici qu’on recommande vigoureusement (enfin !) une adresse du Routard : Freedom Beach Bungalows. Il s’agit d’une petite plage en retrait, avec assez peu de bungalows a flanc de colline, bien tenus et pas chers (8 € la nuit), un petit resto associé où on a mangé nos meilleurs Pad Thaï (le plat typique thaï – nouilles sautées avec légumes et plus selon le cuisinier) et un petit bar en jetée sur la plage. On a cependant du annuler la plongée du lendemain matin 8h, parce que le propriétaire de Freedom Beach ne savait pas nous réserver une chambre et qu’on devait venir voir les dispo a l’heure du check out (indolent, effectivement Mr Routard). Au final, même si nous avons été déçus d’avoir passe la journée a rechercher un logement et d’avoir du annuler la plongée du matin pour en faire une autre l’après-midi (avec des débutants, donc moins profond), nous avons été super heureux d’avoir trouvé un hôtel qui nous plaisait vraiment !


Le lendemain, après un nouveau transfert d’affaires vers notre coin de paradis, nous sommes allés faire le tour des clubs de plongée… Et c’est ici qu’on est tombés sur le meilleur club de plongée de Koh Tao (si, si, je vous assure…) : le New Heaven Diving Club. Il s’agit d’un tout petit club, qui organise des plongées sur un petit bateau (une douzaine de personnes, ce qui est exceptionnel ici) et qui pratique le même prix que les autres clubs (les instructeurs sont pas la pour faire spécialement de l’argent, mais plus pour le plaisir, incroyable…). Si on ajoute a ça le fait qu’ils sont fortement impliques dans des projets de conservation du récif et de sauvegarde de la biodiversité, ce club nous était destine… On n’a pas hésite et on a tout de suite réservé nos plongées pour la semaine !
Petite parenthèse ici pour dire qu’on n’a pas regrette une seule fois d’avoir pris le temps et l’argent pour passer notre brevet 1* CMAS avant de partir !!! A peu près 350 € au lieu de 180 € ici, mais que de plaisir de ne pas passer 4 jours à faire des exercices, de pouvoir plonger profond et d’avoir déjà acquis certains réflexes utiles ! Pour info, il existe 2 grandes écoles de plongée : PADI et CMAS. Les niveaux sont « plus ou moins » équivalents entre eux, même si la formation est en fait très différente. Dans l’ordre des niveaux PADI / CMAS, on a : Open Water = 1* / Advanced = 2* / Rescue Diver = 3* et Dive Master = 4*. Ici, comme en Australie, tout le monde fait le PADI, mais CMAS est tout autant reconnu, donc pas de problème.
Les conditions en mer n’étant pas excellentes, nous n’avons malheureusement pas pu plonger dans les meilleurs sites, moins fréquentés et situés sur des gros rocs en pleine mer. Nous n’avons donc pu plonger que dans les alentours de l’île, ce qui en valait tout de même la peine : c’était la première fois que nous allions en mer, qui de surcroît était chaude (autre chose que les plongées a l’Eau d’heure !) et transparente ! Nous y avons passé des moments inoubliables : paysages marins impressionnants, indescriptibles, des poissons multicolores… Le calme absolu, comme si le temps s’était arrêté… On a pu plonger 2 x tous les jours et a peine remontés, on voulait déjà redescendre…


…enfin, sauf le jour où on est passés en plein milieu du territoire d’un couple de triggerfish (poissons torpille)… Il s’agit de poissons qui peuvent atteindre 80-100 cm et sont super territoriaux. Avant chaque plongée, les instructeurs mettent en garde les plongeurs contre ces bestioles, qui peuvent attaquer et blesser. La solution en cas d’attaque : fuir a l’horizontale a reculons avec, en guise de protection, les palmes entre soi et le triggerfish, afin de sortir de son territoire (qui est en forme de cône inversé). Bref, juste en fin de plongée, on a subi un assaut surprise d’un couple imposant. Tout le monde a paniqué, le groupe s’est dispersé, mais personne n’a été blesse. Véro était à l’avant et a failli tout prendre, raison pour laquelle les triggerfishs font désormais partie de sa (longue J) liste d’animaux bannis !


Mais tout est bien qui finit bien… Apres avoir craqué et rallongé notre séjour de 3 jours (par rapport a l’itinéraire initial) sur cette île paradisiaque ou le soleil n’a jamais cessé de briller, ou les plats étaient parfois un peu trop épices (cf. photos), nous avons du repartir vers le nord.

mercredi 20 août 2008

De pollution a perfection...

[C] Notre deuxième et (malheureusement) dernière journée complète a Bangkok nous a donc permis de tester nos leçons fraîchement apprises, et je dois admettre qu’on est devenu pas mal bons en marchandage! Au menu :


  • Visite des temples et palais manques de la veille : intéressant et impressionnant, mais pourquoi les bouddhistes ont-ils eu besoin de mettre autant de dorures alors qu’ils sont sensés se déposséder de tout ?


  • Visite des canaux (klongs) en bateau longue queue, pour laquelle on a harponne 2 anglais qui passaient par la afin de diviser le prix par personne. Un Bangkok comme on se l’imagine plus, avec maisons sur pilotis, végétation luxuriante, pirogues, et gosses qui jouent dans l’eau. Vraiment chouette, mais dommage que notre chauffeur se soit senti oblige de mettre les watts a fond sur sa pirogue tunee… Un petit arrêt touristique dans une maison thaï a aussi été l’occasion de danser « typique ». Pas glorieux…


  • Dîner buffet a la tour Bayoke (310 m de haut) puisque le Routard donnait 3 Routards pour la visite au sommet et le resto au 78eme étage. Tour inintéressante, et buffet a volonté dans une atmosphère très désagréable (froid, pas cosy, clowns, magiciens,…). Rien a voir avec les commentaires du Routard.


  • Visite du quartier chaud puisque le Routard (encore lui) indiquait que manquer ça serait comme « ne pas monter au troisième étage de la tour Eiffel ». En fait, non, tellement harcelés qu’on s’est enfui en courant.
Finalement, après un retour en tuktuk toc-toc (comprendre un dingue du trois roues, cf. la vidéo), sommeil flash pour un départ a 4h du matin vers l’aéroport, direction les îles paradisiaques du sud ! Gros choc en arrivant sur place en ayant quitte un Bangkok (trop) dense, pollue par le trafic (irrespirable en journée sur les grands axes. Bangkok émettrait apparemment 20% du CO2 de Thaïlande), avec une gestion des déchets déplorable (y a pas un petit boulot pour moi ?), qui pompe a vitesse grand V ses nappes phréatiques,…

Arrives a Koh Phangan, le temps n’a pas de prise, la végétation prédomine, et la mer est bleue transparente et chaude (au moins 30 degrés). Je n’en dis pas plus, mais on a passe deux jours presque parfaits. Juste pour la 4e fois le routard qui nous a emmené faire une « sympathique rando » au pont culminant de l’île (627m)… 3 km de grimpette sèche dans un sentier rudimentaire en pleine jungle, on a cru mourir plusieurs fois et jamais autant sues ! De n’avoir croise que des français sur cette escalade on se dit que le Routard, c’est bien, mais qu’il va falloir commencer à prendre d’autres sources d’infos…

Vous ecrivant de Koh Tao, on a pas encore eu le temps de faire plus que de mettre en ligne les photos de la soiree de depart, la plongee et les changements d'hotels nous ayant pris tout notre temps, mais tout va treeees bien et on pense tres fort a vous. Bientot plus d'infos et de photos (apres avoir vu les tortues, les poissons multicolors,... ;-))

vendredi 15 août 2008

Jour 2 : Tout ce qu’il ne faut pas faire a Bangkok…

[C] Partis de « moyenne heure » pour aller faire le tour des temples en allant jusque la a pied pour découvrir la ville et apres s’être fait accostes par 10 tuktuks successifs, on tombe sur deux thaïs de Chiang Mai qui tapent un brin de causette. Moi, gentil, je discute… Apres nous avoir dit que le temple n’ouvrait qu’a 12h30 parce que c’était la « toussaint » buddhiste et qu’il y avait une cérémonie, ils nous indiquent différents lieux de « visite » et nous disent qu’il faut prendre les tuktuk immatricules en blanc. Aussitôt dit, voila un tuktuk blanc qui débarque… Ça a l’air évident comme ça, mais sur le coup, comme on était dans un coin un peu recule et sans touristes, on y a vraiment cru. Prix de la course pour aller voir les lieux de « visite » indiques : 40 bahts, négocie a 30 par les thaïs. Bref, nous voila en route pour aller voir le « Big Buddha » (Wat Inthana Wiha, « wat » signifiant « temple »), un autre mini temple (Wat Sam Praya), et trois autres choses avant de revenir aux gros temples qu’on voulait voir.

Seulement, les deux autres choses c’étaient des « visites » sur lesquelles il gagnait une commission, soit 1) un magasin de costumes sur mesure qui voulait abolument nous voir partir avec un Armani-thai 2) un centre d’infos touristiques ou ils n’ont étonnement rien essaye de nous vendre 3) un pier ou ils ont essaye de nous vendre un trip touristique en bateau. Finalement, après avoir perdu 2 bonnes heures avec notre tuktuk et rien acheté, il nous débarque a 10 min des temples voulus. Super quoi… A peine arrive qu’un autre rabatteur nous fait le coup des indications sur la carte et de l’apparition inopinée d’un tuktuk presque gratuit. Stop, on marchera, merci!

Apres un petit déjeuner-diner bien sympa a la sauce soja, au basilique thai et au jus d’orange frais (sans eau), direction les temples. Arrives sur place, on constate que le temple (palais en fait) ouvrait a 8h et qu’a 13h30 heure d’arrivée, il y a une file de fou pour emprunter des vêtements longs, obligatoires pour la visite. Bref, puisqu’un thai qui ne voulait rien nous vendre venait de nous dire que le temple était ouvert jusque 18h, on décide d’aller rechercher de quoi mettre a l’hôtel (puisqu’on comptait faire plusieurs temples et pour éviter d’emprunter a chaque fois). Retour a pied, un petit saut dans la piscine pour dire d’en avoir profite, et retour au palais a 15h35… palais duquel tout le monde sortait !! Et pour cause, il fermait en fait a 15h30. On enrage et décide de continuer vers un autre temple. On nous dit qu’il est aussi ferme, mais la, on choisi d’aller vérifier nous même. Et, de fait, il était bien ouvert !

Ce temple, le Wat Phra Chetuphon, est apparemment un des préferes du routard. Effectivement, c’est vraiment très beau et assez calme (un peu a l’écart du flot de touristes) C’est très… thai, les photos parlent d’elle même. Finalement, après s’être fait perdre par un autre tuktuk a 3 km de notre hôtel pour le retour, avoir maudit le routard pour un conseil foireux puis une grosse drache thai, nous voici a faire le blog avant d’aller diner, il le fallait bien.

Bref, pour ceux qui partent a Bangkok, quelques petits conseils pour ne pas tomber dans les mêmes pièges que nous :
  • Marchander le prix du tuktuk « No Stop ». C’est beaucoup plus cher car le chauffeur ne se fait pas de commissions, mais au moins, vous arrivez vite.

  • Ne pas faire confiance aux thais et leur gros smile qui veulent a tout prix vous aider (souvent des rabatteurs)

  • Indiquer au chauffeur du tuktuk sur une carte ou vous voulez aller ou, si vous choisissez de faire un stop pour gagner quelques bahts, de vous indiquer ou il compte vous emmener

  • Vous assurer que le chauffeur vous a bien déposé a l’endroit désire…

Demain, on essaye les taxis et les bus…

Enfin en thailande !!

[C] Thaïlande, enfin ! Nous avons fini par arriver à Bangkok, la « Cite des Anges ». La grève des bagagistes a Bruxelles National entamée la veille de notre départ nous a fait perdre un jour de voyage, merci a eux… et nous avons choisi de partir de Paris plutôt que par Bruxelles ou il restait 20.000 bagages dans une grosse fosse commune (en tout cas c’est comme ça que je l’imagine…) a faire transiter ! Bref, train Charleroi > Bruxelles, thalys Bruxelles > Paris, avion Paris > Londres et après 4 heure de transit ou a bien cru que Sammy nous lâchait déjà (plus de souris avant le 4e redémarrage… ??), Londres > Bangkok pendant 11h qui sont passées super vite !

Arrives a 16h a l’aéroport, on achète une carte SIM pour sonner a notre hôtel réserve, qui nous disent qu’ils ont compris, dans un mail envoie pour leur dire qu’on arriverait avec un jour de retard, qu’on annulait et qu’ils ne pouvaient des lors pas nous promettre un chambre. La fête continue :- / … Apres avoir mis un de nos deux gros sac a dos en consigne avec des affaires pour l’Australie, direction les taxis hors de l’aéroport (ceux dans l’aéroport sont apparemment plus chers…). Dans le rush, et sans savoir, on a pas vraiment négocie, et ça nous a coûte 600 bahts (~12 €, puisqu’on compte en moyenne 50 bahts ≈ 2 €), ce qui est en fait bien cher… Apres 1 h de bouchons, on arrive a l’hôtel Rikka Inn qui nous avait finalement réserve une chambre (comprendre les thaïs au téléphone, sans gestes, impossible…), ouf !

Cet hôtel sympa est situe sur la Khao San Road, rue particulièrement mouvementée (d’aucuns diront bruyante…), fréquentée par une bonne partie des routards. C’est touristique, mais pas encore tant que ça ! Pour info, on paye 800 bahts la nuit (16 €), il a une piscine ouverte de 10-18h sur le toit et l’air co. Bref, parfait pour rentrer dans le bain en douceur. Le premier soir sur place a été l’occasion de faire un petit tour du quartier pour s’émerveiller a tout bout de champs et manger un peu partout (dont un curry rouge a 40 bahts (80 cents :-)) même pas piquant…). Je vais prendre des kilos moi ici… Cette ville a l’air géniale !!

Bref, très bonne première soirée, même si Véro a été un peu choquee qu’on me propose d’aller voir le quartier chaud alors qu’elle était juste a cote ;-).

PS : Promis, j’essayerai d’être moins prolixe pour la suite…

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